Le risque cyber peut toucher toutes les entreprises, quels que soient leur taille ou leurs secteurs d’activité. Dans sa première étude "Lumière sur la Cyber Assurance" publiée en Mai 2021 et réalisée avec huit grands courtiers en assurance spécialistes du Cyber Risk, l’AMRAE note le très fort accroissement des sinistres entre 2019 et 2020 puisque le montant des indemnisations versées passe de 73 Millions € en 2019 à 217 Millions€ en 2020.
Vous avez envie d’entreprendre ? Vous ne trouvez pas d’emploi ou vous avez perdu le vôtre ? Sachez qu’il est toujours possible de trouver une solution. Et bien évidemment, l’entrepreneuriat reste tout de même un domaine particulièrement prisé. Prêt à en apprendre davantage ? C’est par ici que ça se passe, l’ESAM vous explique tout !
L’INSEE a dévoilé sa dernière étude sur l’entrepreneuriat et le nombre de créations d’entreprises établit un nouveau record ! Découvrons les cinq chiffres clés de l’entrepreneuriat en France.
L’entrepreneuriat social fait beaucoup parler de lui ces dernières années, car il représente à lui seul 7% des entreprises françaises et 10% des employés en France. Depuis 2000, l’emploi y a même progressé de 24% ! Par définition au service de l’intérêt général, il a pour vocation première de concilier à la fois l’utilité sociale et l’efficacité économique dans une dynamique de territoire, prônant l’Homme et l’environnement. S’il s’inscrit en France dans l’Economie Sociale et Solidaire avec notamment la loi du 31 juillet 2014, l’entrepreneuriat social rentre pleinement dans la stratégie de relance économique au niveau de l’Union Européenne.
Lever des capitaux pour lancer son activité et assurer son développement est une étape cruciale dans la création d’entreprise. Elle est le reflet d’un engagement professionnel et financier, pouvant faire écho à une prise de risque. Il convient alors de bien préparer son projet, notamment son business plan, afin de séduire et d’attirer les potentiels investisseurs. Trésorerie de départ, dépôt de garantie, stock, fonds de roulement, investissement initiaux, etc., la transparence est de mise. Si l’apport personnel et les prêts bancaires sont les alternatives les plus connues, il en existe pourtant d’autres, découvrons les en détail.
Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, prépare un ambitieux projet de loi qui devrait être présenté mi-juin 2018 en Conseil des ministres. Le Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE) vise à améliorer les performances des TPE et PME et associer les salariés aux résultats des entreprises. La phase de concertation, qui s’est achevée le 5 février 2018, a permis de recueillir en trois semaines 12 800 contributions, et 7 700 personnes ont commenté les 31 propositions de l’exécutif.
Pour les sceptiques du salariat, c’est une voie royale pour lancer sa carrière. Pour d’autres, c’est le moyen idéal pour contourner les aléas du marché du travail. Quelles que soient les motivations, l’entrepreneuriat a le vent en poupe. Selon l’Insee, 2017 a vu la création de quelque 591 000 entreprises, contre 554 000 en 2016, et la tendance n’est pas prête de faiblir. Avec un environnement économique plus intéressant et un contexte politique « clarifié », il y a de la place pour passer au concret. Mais avant, quel type d’entrepreneur souhaitez-vous être ?
La Why Not Factory, pépinière de talents de l’ESAM, accompagne les apprenants dans leurs projets d’entrepreneuriat, de l’idéation à la création d’une société viable.
